Illustration de discrimination envers des personnes qui se voient refuser la possibilité d'adoption d'un enfant au motif de l'obésité.
Alors d'aucuns pourront dire que cet état de fait se passe hors de nos frontières, mais ce phénomène n'est pas isolé. Il s'agit d'un fait que l'on pourra qualifier de "divers", mais il s'agit surtout du point de départ d'une prise de conscience collective, pour que notre regard change, pour que les à priori cessent. Pour que la culpabilité ne se substitue pas à la maladie, pour que l'aide à la prise en charge et au traitement se substituent au rejet.
4 commentaires:
Des femmes minces n'ont pas hésité à placer leur bébé au congélateur - au moins celui des obèses peut-il être supposé rempli, présomption d'innoncence donc...(Oh! on peut bien rire, quoi...?)
Humour un peu fétide mais il y a du vrai...
Tant d'aspects au problème des Gros, spychologique, social, économique, sanitaire etc...
La lutte antikilogs passe donc par tant de chemins...
Et si l'un des premiers était la sollicitation (surtout pas la culpabilisation) de l'intéressé, pour qu'il se responsabilise, ainsi que son entourage?
"N'oubliez pas une personne invisible: la mère-cuisinière vietnamienne! C'est elle qui a façonné ces recettes exquises, qui inculque à ses filles les quatre manières de cuire le riz (on ne dit pas 'manger' en vietnamien, on dit 'prendre le riz'). C'est la mère qui, grâce au repas, donne la force quotidienne, l'entrain par l'ingéniosité de ses plats, cuisinés avec des petits riens qui font tout.
D'où le respect et aussi cette sympathique gourmandise pour l'alimentation: elle garde son rôle et son sens".
Véritables Paroles, absolument non machistes, reçues par:
Bert
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