Ces missions d'éducation et de prévention sont constitutives de l'Ecole. Pour autant, si certains enseignants sont, au quotidien, pleinement acteurs d'éducation à la santé et de prévention, d'autres ne voient pas en quoi ils peuvent y contribuer. Ils évoquent comme résistance à cette application un manque de compétences pour mettre en place des projets à l'échelle de l'établissement ou de leur classe, et pour travailler en partenariat avec des professionnels extérieurs à l'école.
La formation des enseignants représente donc un enjeu déterminant.
Etroitement liées, santé et éducation constituent le socle sur lequel s'appuie une dynamique de réussite pour tous les élèves. Ainsi en matière de santé, l'Ecole se trouve être au centre d'enjeux importants qui vont nécessiter le développement de nouvelles compétences pour tous les professionnels de l'Education nationale, les milieux associatifs, mais également des élèves eux-mêmes.
Outre sa mission première de transmission de connaissances, l'Ecole est appelée à contribuer à l'éducation de citoyens notamment dans le domaine de la santé. Elle s'est ainsi engagée dans des actions d'éducations et de promotion de la santé visant l'acquisition de connaissances et le développement de compétences, parmi lesquelles la capacité à faire des choix eclairés, l'accroissement de l'autonomie des élèves dans la prise en charge de leur propre santé, leur aptitude à agir en tant que citoyens dans l'espace de santé publique.
Au sein de l'éducation nationale, on entend par partenariat la collaboration entre la communauté éducative et des intervenants extérieurs.
Cependant, je m'interroge, et ne suis pas la seule: ces partenariats sont certes nécessaires, mais le décloisonnement entre les disciplines enseignées ne serait-il pas propice au développement de compétences transversales favorisant une lecture globale, bio-ppsycho-sociale de la santé?
Ainsi, le rôle de la médecine scolaire se verrait renforcé et plus efficace, ne se limitant pas à ce que l'on nomme de façon un peu péjorative la "bobologie".
C'est un changement de paradigme auquel fait appel cette formation des maîtres, une dynamique collective de travail.
Il me semble plus que jamais , en ces temps économiquement difficiles nécessaire de mettre l'accent sur la promotion de la santé afin de ne pas se poser la même question qu'Antoine Flahaut: "Soigner les malades ou garder les gens en bonne santé?", car nous savons tous qu'un système de soins curatif coûte beaucoup plus cher à la société qu'un système préventif.
La formation des enseignants représente donc un enjeu déterminant.
Etroitement liées, santé et éducation constituent le socle sur lequel s'appuie une dynamique de réussite pour tous les élèves. Ainsi en matière de santé, l'Ecole se trouve être au centre d'enjeux importants qui vont nécessiter le développement de nouvelles compétences pour tous les professionnels de l'Education nationale, les milieux associatifs, mais également des élèves eux-mêmes.
Outre sa mission première de transmission de connaissances, l'Ecole est appelée à contribuer à l'éducation de citoyens notamment dans le domaine de la santé. Elle s'est ainsi engagée dans des actions d'éducations et de promotion de la santé visant l'acquisition de connaissances et le développement de compétences, parmi lesquelles la capacité à faire des choix eclairés, l'accroissement de l'autonomie des élèves dans la prise en charge de leur propre santé, leur aptitude à agir en tant que citoyens dans l'espace de santé publique.
Au sein de l'éducation nationale, on entend par partenariat la collaboration entre la communauté éducative et des intervenants extérieurs.
Cependant, je m'interroge, et ne suis pas la seule: ces partenariats sont certes nécessaires, mais le décloisonnement entre les disciplines enseignées ne serait-il pas propice au développement de compétences transversales favorisant une lecture globale, bio-ppsycho-sociale de la santé?
Ainsi, le rôle de la médecine scolaire se verrait renforcé et plus efficace, ne se limitant pas à ce que l'on nomme de façon un peu péjorative la "bobologie".
C'est un changement de paradigme auquel fait appel cette formation des maîtres, une dynamique collective de travail.
Il me semble plus que jamais , en ces temps économiquement difficiles nécessaire de mettre l'accent sur la promotion de la santé afin de ne pas se poser la même question qu'Antoine Flahaut: "Soigner les malades ou garder les gens en bonne santé?", car nous savons tous qu'un système de soins curatif coûte beaucoup plus cher à la société qu'un système préventif.
3 commentaires:
Oui mais... les IUFM sont supprimés.
Alors, quelle formation des maîtres pour leur fonction de pédagogues de la santé?
Bert
Ils sont en "mutation" vers des universités de rattachement comme le stipule cet article mais sont toujours nommés IUFM, pour le moment!
excellent post; merci
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